L’ouvrage collectif, nourri des communications présentées au «Solothurn symposium» (2008), est né du postulat de départ que «les arts sont essentiels à une éducation complète, de par leur dimension affective autant que cognitive» (p. 237), et de trois convictions: 1) que la musique est un bien culturel incom- parable qui se doit d’être développé à l’école publique, 2) que cette dernière ne devrait pas uniquement avoir une fonction de transmission des savoirs mais doit préparer les élèves à utiliser les connaissances de manière cohérente, constructive et participative, 3) qu’une intégration de la musique dans les curricula scolaires est une nécessité qui permet de dépasser l’opposition entre «éduquer par la musique» et «éduquer à la musique».
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